Die Beitrittsreferenden im Donbass „können nicht als Ausdruck des Volkswillens betrachtet werden“ twittert UN-Generalsekretär António Guterres am 29. September.
„Interessant“, meint der Schweizer Schriftsteller Slobodan Despot in seinem Briefing vom 30.09.2022:
Der Westen, der jetzt Eulenschreie ausstößt und nicht mehr weiß, was für Sanktionen gegen Russland er noch erfinden soll, wobei Russland mit symmetrischen Drohungen bis hin zum Atomschlag antwortet, ‒ der Westen wars, der den Ball der Zerstörung der von ihm selbst aufgebauten internationalen Ordnung eröffnet hat. Doch die Zeitgenossen sind vollkommen unfähig, in sich zu gehen und zu erkennen, dass sie gerade den Sturm ernten, nachdem sie den Wind gesät haben.
Sicher, was war schon der Kosovo? Kaum der Rede wert. Aber schaut her auf die Folgen!
Als hätte niemand gesehen, was sich dort tat. Als hätte man, weil Russland 1999 auf den Knien lag, ein Land wie Serbien zerbomben dürfen, um die Weltkarte umzumodeln.
Der Kosovo ist gerade das, was wir brauchen, sagten sie untereinander: Wir können seine Energiequellen nutzen und eine Militärbasis dort errichten; also werden wir ihn Serbien entreißen, indem wir die Unabhängigkeitsbestrebungen oder terroristische Bewegungen unterstützen, humanitäre Tragödien und Massaker arrangieren, u.s.w.
Hier habt ihr sie, die Retourkutsche.“
Il
y a eu des référendums dans les régions russophones de l’est de
l’Ukraine. Ces quatre régions maintenant, depuis aujourd’hui, ont été
reconnues par la Russie et vont entrer dans le territoire de la Russie.
Evidemment les hauts cris, même le Secrétaire général des Nations Unies a dit: non, ce n’est pas possible, on ne va pas reconnaître ça.
Ce
qui est très intéressant, c’est que je n’ai pas entendu le Secrétaire
général des Nations Unies de l’époque, en 2004, déclarer qu’il est
impossible de reconnaître le détachement, l’indépendance du Kosovo
vis-à-vis de la Serbie, alors même que nous avions une résolution des
Nations Unies, la résolution 1244, qui garantissait que le Kosovo
faisait bien partie de la Serbie.
Et
l’Occident qui pousse ses cris d’orfraie, qui ne sait plus quelles
sanctions inventer contre la Russie, qui agite des menaces auquelles la
Russie répond symétriquement en évoquant les représailles nucléaires;
l’Occident, c’est lui qui a ouvert le bal de la destruction du droit
international, de l’ordre international, qu’il avait lui-même institué,
mais les gens de ce monde sont absolument incapables de ce retour sur
eux-mêmes et de reconnaître qu’ils sont en train de récolter la tempête
après avoir semé le vent.
Parce que, évidemment, qu’est-ce que c’était le Kosovo? C’est bien peu de chose. Mais regardez maintenant les conséquences.
Comme
si personne n’avait vu ce qui s’était passé. Comme si, parce que la
Russie était à genoux en 1999, on pouvait, à coups de bombes, en
détruisant complètement un pays comme la Serbie remodeler la carte du
monde; en disant: ben tiens, on a besoin justement du Kosovo pour ses
ressources énergétiques et pour y mettre une base militaire, donc on va
l’arracher à la Serbie en soutenant des mouvements indépendantistes ou
terroristes, en montant des tragédies humanitaires et des massacres,
etc.
Eh bien, voilà, vous avez la monnaie de la pièce. »
Der zitierte Text beginnt bei 18:40, aber das gesamte Video ist hörenswert.
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